L’écho par-dessous la glace
Le 24 à 48 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un calme oppressant. Les lois de sécurité, habituellement stricts, avaient duré désactivés pour intensifier l’analyse technique du silence. Tous les relevés affichaient des montants normaux, aucune panne, aucune sorte de liégeois sur les circuits, zéro perturbation �